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Alors que le ciel va bientôt nous tomber sur la tête, avec la sortie quasi-simultanée du dernier 007, Skyfall,
et des dernières aventures d'Astérix, "Au service de sa majesté" (britannique ?),
curieuse inversion qui pourrait valider les prédictions de fin du monde en 2012, faite par les mayas,
Nicolas Sarkozy revient, pour un temps, dans une actualité bien morose, par le biais d'un traité signé, jadis, du temps de sa splendeur, avec Angela Merkel,
nommé TSCG ou Traité sur la stabilité, la coordination et la gouvernance, qui voudrait limiter les déficits des états européens et promouvoir une certaine vertu budgétaire. Louable attention en soi que de faire des économies, mais en ces temps de crise, le remède pourrait s'avérer pire que le mal et ce pacte budgétaire européen, imposé par les frugaux teutons, pourrait avoir des conséquences calamiteuses pour les cigales du sud. Mais nos deux jouvenceaux, Angela et Nico, Merkozy pour les intimes, ont commencé une reconversion dans le film d'espionnage, version 007, mais il faut dire que Sarko avait déjà commencé, il y a bien longtemps, sous le pseudo de Nico Connery et qu'il réitère son coup dans un remake de "L'espion qui m'aimait".