Alors que l'ancienne cité impériale se réveille, sous l'aile du château, nous descendons vers le centre-ville, de Holensovice, où quelques tchèques prennent l'air, sur leur fenêtre ...
Le long de la Vltava, rivière qui serpente dans sa Bohême natale,les édifices se reflètent dans les eaux au repos.
Ici, un canard qui somnole, sur sa patte,
peu gêné par le roucoulement d'un couple de pigeons,
à l'étage au-dessus.
Là, un volatile coiffé en pétard, se repose de sa nuit agitée.
Sur la tête du théologien Jean Hus, théologien bohêmien excommunié puis occis par Rome, un hardi volatile se repose,
toisant la foule de touristes,
qui viennent admirer la célèbre horloge astronomique,
surmontée d'une poule d'or.
Le fameux pont Charles,
avec ses musiciens,
son Christ crucifié,
sous l'oeil d'un saint barbu,
nous emmène dans le quartier d'Hradcany, où trône le château royal. Sous le pont, une stèle rendant hommage aux 343 pompiers morts dans les attentats contre le World Trade Cente.
Plus loin, le musée d'art de Kampa, initié par les mécènes Jan et Meda Mladek, où siège un altier chevalier,
qui s'ouvre sur le parc Kampa, gardé par un singulier moine tibétain,
qui admire la Vieille Ville,
accompagné par quelques paisibles volatiles,
et des canards moraviens,
qui sondent la Vltava,
aux reflets ambrés, comme l'écume de la Pilsner !
La journée se finit sur la longue marche des pingouins ...
qu'aurait aimé Jean-Michel Jarre.
A votre santé !